Le val d'Esnoms- samedi 20 avril 2024

Nous étions 15 pour cette randonnée au départ de Chatoillenot, par un temps assez froid et venté ; en début de parcours flânerie pour découvrir le joli lavoir et son moulin en ruines, ainsi que les maisons bien restaurées de ce village de Haute Marne.Nous avons cheminé d'un pas tranquille dans la campagne jusqu'à Courcelles-Val d'Esnoms, traversé le cours du Badin, et en sortie de bois de la Masière côtoyé les éoliennes, éléments toujours captivants.Après une pause déjeuner un peu à l'abri du vent, nous avons rejoint le village d'Esnoms-au-Val ; puis, accompagnés d'un timide soleil, nous avons regagné notre point de départ en prenant le temps de cueillir du muguet, preuve que le printemps est bien là.

 

Grande randonnée JO vers Paris  Gevrey-Dijon-venfredi 12 avril 2024

Nous étions une douzaine du Club à participer à l'étape Gevrey-Chambertin, Chenôve, Dijon (Cité de la Gastronomie) de la Grande Randonnée vers Paris, soit une vingtaine de kilomètres. Compte tenu du nombre de participants, le rythme fût très cool, avec de nombreux arrêts pour resserrer les rangs. Une balade tranquille sous un beau soleil et avec 157 randonneurs (euses), au plus fort de la journée. Record à battre.Au plateau de Chenôve, après avoir été accueillis par le maire, nous eûmes droit à une séance d'étirements, un peu délicate sans bâtons. Ce fut l'occasion de nouer ou de refaire des connaissances, d'échanger des infos d'un club à l'autre, tout au long du parcours. Nous ne sommes pas passés inaperçus, surtout armés du drapeau bourguignon historique.A l'arrivée, la ville de Dijon nous a offert de l'eau, plate ou gazeuse, avec des gougères et des petits pains apéro, avant la photo de groupe sur le parvis.Un dernier coup de tram, et retour à la maison, tout nimbés de notre exploit olympique !

 

 

 

 

 

 

Sur la côte -Villers -Pernand-Magny- dimanche 07 avril 2024

Nous étions 21, ce dimanche, pour une grande boucle irrégulière autour du village de Villers-la-Faye. Partis du cimetière, au sommet du mont Saint-Victor, nous sommes passés alternativement de vignes en forêts et de forêts en vignes, en évitant les carrières de Comblanchien et en passant au-dessus d'Echevronne. Bien que le soleil ait tenté de timides percées, le ciel est resté voilé toute la journée, avec une température
plus qu'agréable. Nous avons gardé un rythme soutenu, qui nous a permis d'arriver jusqu'à la Vierge de Pernand-Vergelesses, peu après midi. Le pique-nique fût arrosé au blanc d'Alsace (bon anniversaire Dominique) et au blanc local, grâce à Sylvette, l'enfant du pays. Le retour, tout aussi sinueux, nous a ramenés d'abord sur Magny-lès-Villers, puis à notre point de départ par quelques derniers zig-zags.

De Fleurey aux combes de Lantenay- samedi 23 mars 2024

Partis de Fleurey-sur-Ouche pour aller escalader le plateau, jusqu'à surplomber les combes de Lantenay, avant de revenir par la vallée de l'Ouche, c'est un très bel itinéraire, agréablement varié, que nous avons parcouru ce samedi. Le soleil jouait à cache-cache avec les nuages, en nous arrosant périodiquement, mais très modérément. L'ascension jusqu'au dessus de la Combe aux Mammouths fut bien longue, mais nous fûmes bien récompensés par les vues panoramiques sur la
vallée, tout en nuances de vert et de brun, depuis le rebord des
falaises vertigineuses. En fin de matinée, une petite averse de grésil nous a accélérés juste ce qu'il fallait pour gagner Lantenay, après un crochet ensoleillé jusqu'à l'éperon rocheux de la chapelle Saint-Louis. Là, un abri pour randonneurs nous a accueillis, au retour du soleil, juste à temps pour arroser l'anniversaire de Nicole et déguster le gâteau au chocolat de Florence, préparé pour cette occasion. Miam ! La piste agricole vers Velars-sur-Ouche a pu paraître longue, mais la descente aventureuse, le long du viaduc SNCF de la Combe de Fain, l'a
vite fait oublier. Le retour, un poil plus humide, a suivi le chemin des Roches d'Orgères, bien plat et sans difficultés.

De La Rochepot aux 3 croix-dimanche 10 mars 2024

Nous étions quand même 26 à braver la météo pessimiste, au départ de la Croix de l'Ormeau, au-dessus de La Rochepot. La matinée fût, il est vrai, bien arrosée : une pluie pas très forte mais continue et froide. Après avoir longé la crête calcaire jusqu'à l'ancienne carrière CBS, nous avons traversé la RN 6 avec prudence, avant de mettre le cap sur la butte pelée du Mont Julliard, que nous avons contournée par l'ouest, pour rejoindre Borgy. De là, nous connaissions bien le chemin pour
escalader la Montagne des Trois Croix par sa face ouest, longeant  des vaches écossaises et des ânes. La brume et les nuages bas masquant la vue sur la vallée de la Dheune et au-delà, nous redescendîmes rapidement profiter des tables de pique-nique, guère abritées, proche du parking. Le GR 7 nous a ramenés à la nationale, avant que nous ne grimpions sur
la chaume de La Rochepot, où Yves nous fit découvrir l'allée couverte, restaurée par ses soins dix ans auparavant, puis une cabotte étroite. Quelques pistes viticoles plus loin, nous retrouvions nos voitures ; l'une d'entre nous, crottée jusqu'à la ceinture, comme si elle avait couru dans la boue (je tais pudiquement son nom).

 

Le sentier des Karsts- samedi 24 février 2024

22 participants de 11ans à 76 ans ont bravé le temps incertain. Pluie, neige fondue et soleil ont agrémenté le parcours en voiture, mais depuis le départ du cimetière de Genay, la météo nous a épargné. Après une première montée vers le mont de Cra, une descente a suivie vers Chevigny, une deuxième montée sur la montagne du télégraphe nous a conduit au mémorial de la résistance où nous avons pu nous restaurer.

 

Après cette collation, petite surprise dans la descente vers Millery, le terrain détrempé a fait regretter à certains de ne pas avoir les bâtons, une nouvelle montagne nous a surpris (carcasses de 2CV). Beaucoup de glissades, mais pas de chute. L’Armançon  était assez haute et l’eau boueuse, encore un petit chemin boueux et retour aux voitures.

 

Le plateau d'Uncey - dimanche 11 février 2024

Nous étions 19, ce dimanche, pour parcourir presque 18 km, soit un peu plus que prévu. En effet, en deux endroits, la trace gps importée passait au milieu de nulle part, sans aucun chemin sur tous les fonds de carte consultés. Il a donc fallu improviser, raccourcir d'un côté par des bordures de champs et rallonger de l'autre, malheureusement sur route. Par chance, le temps s'est montré plus favorable que ce que nous craignions, certes humide, parfois pluvieux, mais jamais longtemps. La montée jusqu'au plateau, depuis la route de Vitteaux, fût délicate :
très glissante et encombrée de ronces. Bref, un chemin très peu utilisé. Une fois sur le plateau et hormis les déviations évoquées ci-dessus, ce fût parfois très boueux, mais moins malaisé. Nous avons côtoyé deux fermes sans âme qui vive et n'avons traversé aucun village. La campagne morne et vide ou les bois moussus à perte de vue... Après le pique-nique,  installés à l'abri du vent sur le talus d'une petite route tout aussi vide, le retour fût rapide, en dépit d'une petite erreur de navigation, avec une descente tout aussi glissante que la montée.

 

De Précy à la ferme du hameau- samedi 27 janvier 2024

Après une route un peu verglacée dans les zones à l’ombre, la randonnée au départ de Précy sur Thil, s’est déroulée sous un soleil radieux. Passage près de l’étang de la folie, Lucenay et la ferme du hameau, on aperçoit de loin le château qui n’est pas abordable. Un petit détour non prévu par Bière les Semur pour aller sur une aire de pique-nique et jeux. Après une restauration bienvenue, nous étions tous serins le long du Serein. Passage par l’ancienne forge et retour aux véhicules.

 

 

 

La voie romaine Fontaine Française- dimanche 21 janvier 2024

Une rando "détente", ajoutée au programme, et finalement menée à un rythme habituel. Partis de Fontaine-Française (et non Fontenelle), nous avons contourné l'étang du Fourneau, avant de mettre le cap sur le canal de la Marne à la Saône. Le sol était gelé, le paysage givré, et un pâle soleil perçait à travers des nuages clairsemés. Après avoir traversé le canal, non sans mal, sur une vieille passerelle, nous avons traversé Fontenelle, pour rejoindre la forêt à travers des champs bien ventilés. C'est là, au milieux des ronces, mais à l'abri du vent, que nous avons
pique-niqué. Nous avons ensuite rejoint la voie romaine Dole - Mirebeau - Langres, filant tout droit vers le nord et parfois bien boueuse (les réclamations sont à adresser directement à Rome), mais bien ensoleillée. Avant de filer trop loin, nous avons enfin obliqué plein est, en direction du château de Fontaine-Française, sur lequel nous eûmes un rapide aperçu, par delà son étang.

Rando-galette- dimanche 07 janvier 2024

Aller et retour en tram pour une randonnée urbaine ou presque, le bitume n'était pas toujours présent, les chaussures s'en souviennent.Au retour, repas pris au chaud à la maison des sports suivi de la galette offerte par le club.Nous avons même eu de la promotion notre Président est devenu roi.

 

 

 

Entre canal et châteaux- samedi 16 décembre 2023

Partis du port de plaisance de Pont d'Ouche, dans la brume et la
grisaille, nous nous sommes très vite élevés vers la lumière : un franc soleil baignait le plateau tandis qu'à nos pieds chaque vallée était remplie d'une belle brume blanche et compacte, s'effilochant de-ci de-là au grand bonheur des photographes. Ici, elle laissait deviner le clocher de Colombier, là-bas elle estompait la base du château-fort de Chaudenay, ailleurs elle dessinait comme un arc de brume. Subjugués par cette ambiance hivernale et parfois féerique, nous n'avons pas hésité à
plonger vers Chaudenay-la-Ville puis Crugey et le grondement lancinant de l'autoroute A6. Par chance, l'aire de pique-nique, au bord du canal, était déjà au soleil, la brume, peu à peu, se dissolvant, accompagnée par le vin chaud généreusement servi par Christian. Le retour fut rapide, par la voie verte, longeant le canal sans effort. Un circuit court et facile, magnifiquement mis en valeur par l'hiver !

La vallée de la Norges- dimanche 03 décembre 2023

Belle matinée hivernale et ensoleillée pour débuter cette randonnée au départ d'Orgeux.Nous avons d'abord longé la Norges puis l'autoroute et de nouveau larivière pour arriver à St Julien. De là, pour éviter une chasse, nous avons dû contourner le bois pourretrouver notre chemin plus loin.Nous avons profité d'être au soleil et à l'abri du vent pour pique-niquer à l'orée du bois. Il nous restaittrès peu de chemin pour rejoindre Orgeux.

 

Circuit des biches- samedi 25 novembre 2023

Temps hivernal, pour une randonnée « détente » 13 membres ont marché dans le frimas, mais le soleil était quand même présent. Après avoir traversé le petit village Fontenelle, nous nous sommes restaurés sur le pont enjambant le canal à l’abri du vent, gâteaux, chocolats, papillotes étaient au rendez-vous.

Une grande ligne droite le long du canal, Liecey sur Vingeanne (très belle rivière), et retour aux voitures.

 

Circuit des roches- samedi 18 novembre 2023

Une randonnée bien automnale, entre vignes, falaises et forêts : une petite pluie intermittente, des feuilles mortes et des dalles de
calcaire glissantes, des bourrasques de vent frais et de très rares rayons de soleil. Rien qui ne soit susceptible de nous freiner, au départ de Saint-Romain et en passant par Orches (détour jusqu'à la fontaine du Chêne, avec ses stèles gallo-romaines) et jusqu'à Baubigny, avec les ruines du village médiéval de Dracy. Avant d'y parvenir, un sentier interdit nous a contraints à un second détour de quelques centaines de mètres, jusqu'à la RN 6. Plus tard, le surplomb du toit des communs du château de La Rochepot nous a servi d'abri, pour le repas.
Enfin, une succession de collines rocheuses, couvertes de friches ou de forêts nous a ramenés jusqu'à nos voitures, au prix de quelques incertitudes. Au retour, la traversée de Meursault - indispensable pour éviter le marathon de Beaune - s'est transformée en un bouchon difficile à démêler ; ça aurait été plus facile à pieds !

De Ougney à l'abbaye d'Acey - dimanche 05 novembre 2023

Le temps exécrable de la veille en a découragé certains. Mais surprise pratiquement pas de pluie et vent modéré avec quelques bourrasques a permis à 12 randonneurs de parcourir 20 km majoritairement dans les bois. Après avoir traversé la LGV Rhin-Rhône, une petite visite à l’abbaye d’Acey, les cloches sonnaient la messe de 11h00 et il était moins le quart. Un moine nous a accueilli et permis de visiter les lieux rapidement. Un petit crochet pour voir notre dame des bois et ensuite traverser une chasse. Nous nous sommes restaurés à la sortie du village de Vitreux au pied d’une vierge tout prêt de la fontaine du Vernois. La traversée de la forêt était un peu semée d’embuches, des arbres qui ont dus tomber dans la nuit barraient le chemin, il a fallu faire quelques contorsions pour franchir les barrages. Descente vers Taxenne petit village où des véhicules « citroën » en mauvais état occupent les bords de la rue.

 

Une dernière photo assis sur le mur de la fontaine et ensuite remontée le long du ruisseau de la Vèze jusqu’à Ougney.

 

De Velars à Prenois par les combes- samedi 21 octobre 2023

Une grande première pour le Club Montagne, aujourd'hui : deux randonnées partant en même temps du même lieu (Velars-sur-Ouche), l'une de 14 km, à allure modérée, l'autre, plus sportive, de 18 km. Cette dernière a d'abord longé la ligne SNCF par le nord, de combe en combe (glissantes), avant de s'enfoncer dans les forêts entre la vallée de l'Ouche et Darois, empruntant pour partie le GR2. Au fond de la combe de Torcy, nous avons croisé deux chasseurs postés, très aimables, avant d'obliquer vers son "bout du monde", cerné de falaises rocheuses entre lesquelles
le sentier se faufile. Arrivés sur le plateau, nous avons rejoint le
GR7, les oreilles cassées par le circuit de Prenois, pourtant éloigné de plus d'un kilomètre. Guère plus loin, à la source de Torcy, une table de pique-nique nous tendait ses bras. Encore plus loin, notre avant-garde a fait fuir un petit marcassin isolé, trop mignon ; Nicole en rêve encore. Malgré une petite erreur de navigation, une large piste nous a ramené à la route de Lantenay, puis à la Rente du Fays, avant que nous obliquions
de nouveau en forêt, puis à travers champs, avec de belles vues vers Mâlain et Ancey. Un dernier sentier en descente et la boucle fût bouclée ; tout cela sous un frais soleil et des rafales seulement perceptibles hors forêt.L’autre groupe a fait une partie en commun du tracé, mais dans l’autre sens.Un petit détour sur parcours initial de 10 km, nous a fait voir la grotte duContard (les chauves-souris devaient dormir), après avoir été un peu gêné

 

par un autre groupe dans une montée. !!

 

 

 

La côte de Nuits via Concoeur- samedi 06 octobre 2023

Nous étions nombreux (23), au départ de Vougeot, pour cette magnifique randonnée entre vignes et forêts, agréablement vallonnée et baignée d'un franc soleil d'automne, suivie à un rythme assez homogène. Dès la première côte, les vestes et polaires sont vite tombées. Après avoir longé le grand cru des Musigny, nous avons atteint le plateau, pour nous engouffrer dans la forêt de Chambolle, encore sans chasseurs. De là,
nous avons atteint le château d'Entre-Deux-Monts (traversé discrètement en courbant l'échine), avant d'escalader le flanc de la butte de Mantuan, puis de redescendre sur Corboin puis Concoeur (la boutique de la ferme Fruirouge était malheureusement fermée pour cause de mariage).
Quelques combes plus loin, nous avons obliqué vers Nuits-Saint-Georges où nous attendait une grande table de pierre, idéale pour le pique-nique. Laurie, qui avait découvert au départ qu'elle avait oublié son casse-croûte, a marché léger et a mangé comme quatre avec tout ce qui lui a été offert. De cette chaume arbustive, il ne nous restait plus qu'à mettre cap au nord, via deux combes, celle empruntée par la route de Corboin (marche à gauche, Bibiche !) et la Combe d'Orveaux, dans laquelle il a fallu descendre par une longue dégringolade pierreuse, comme Florence ou Khadija les adorent. Une agréable sente forestière
nous a ramenés au Clos de Vougeot, en grappillant par-ci par-là, puis à notre parking. Un circuit à refaire, sans modération !

 

Journée départementale de la randonnée pédestre-dimanche 24 septembre 2023

Nous étions 12, sur environ 1500 participants, à nous être rendus à la Journée départementale de la randonnée pédestre, à Ladoix-Serrigny. Magnifiquement organisée - jusqu'au temps splendide et au gobelet de vin - cette manifestation nous a permis de parcourir les vignes et quelques massifs forestiers, de Pernand-Vergelesses à Magny-les-Villers, en passant par Echevronne et Villers-la-Faye. Sept d'entre nous ont parcouru 15 km et cinq autres 20 km. Au retour, nous avons pu essayer les bâtons à ressort Bunggy Pump.

 

Le ru blanc et les bois de Cestres - samedi 16 septembre 2023

La pluie matinale n'a pas découragé les 16 participants à cette randonnée agréable et sans difficulté, hormis la distance de 19,5 km, au départ de Cestres. Le début du parcours nous a fait passer par les 3 lavoirs, bien entretenus, des hameaux de Cestres, Froideville, puis Bordes-Bricard.Nous avons ensuite cheminé en limite de champs et bois, puis suivi le joli sentier dans le bois de Cestres, déjà aux couleurs automnales, en surplomb du Ru Blanc (à sec) puis du Suzon.La pause déjeuner dans la remontée de la combe d'Eté nous a requinqués. Puis nous avons regagné et visité le site des ruines des "habitats désertés de Cestres".Un peu plus loin, nous avons découvert le Puits Gaillard avec, devant, une grande auge en pierre.En sortie de bois, nous étions contents de revoir le soleil, il nous restait à poursuivre en ligne droite traversant les cultures pour revenir à notre point de départ.

 

 

 

Séjour 2023 du Club Montagne Gîte Bercail Montagne à Pessade, commune de Saulzet-le-Froid (63)

Séjour 2023 du Club Montagne

 

Gîte Bercail Montagne à Pessade, commune de Saulzet-le-Froid (63)

 

 

 

 

 

Samedi 2 septembre – Voyage aller

 

Trajet par l’A6, puis la RCEA jusqu’au niveau de Digoin ; traversée de la campagne de l’Allier jusqu’à Vichy, puis Gannat, avant de contourner Clermont-Ferrand par l’A71 et l’A75. Courses au supermarché Auchan de Beaumont. Arrivée au gîte vers 15h00 ; visite détaillée avec M. Pellissier, notre logeur, pendant une pluie d’orage carabinée. Installation et préparation des repas du soir et du lendemain midi, pour reprendre « les bonnes habitudes ».

 

 

 

Dimanche 3 septembre – Parc des volcans

 

Pour un début, nous avons choisi les volcans les plus jeunes, au départ de la Maison du Parc des Volcans, au château de Montlosier. La forêt exhalait en brume l’orage de la veille, offrant de beaux effets de soleil et d’ombre. Après avoir contourné le cratère forestier du Puy de Vichatel, nous avons traversé, toujours en forêt, un secteur d’anciennes coulées de laves, les « cheires », constellé de trous et de bosses. Après un détour par la grotte de Ribbe Haute (décevante), nous avons rejoint la base du Puy de la Vache (ancienne carrière de pouzzolane) et sa longue ascension par des marches inégales. D’en haut, la vue était fabuleuse, tant vers le massif du Sancy au sud, que vers le Puy de Dôme, au nord. Une descente rapide du flanc nord nous a menés à l’escalade du Puy de Lassolas voisin, où nous avons pique-niqué, sur la crête du cratère, largement éventré vers le sud. La descente, délicate dans la pouzzolane glissante, nous a conduits à une agréable piste forestière, afin de contourner le majestueux Puy de Pourcharet. Enfin, un long sentier, toujours en forêt, évitant les Puys de Montjuger et de Montchal nous a ramenés à la Maison du Parc, que nous avons visitée. Au final, un parcours sinueux et presqu’exclusivement forestier, qui a constitué une belle entrée en matière et une introduction au volcanisme local.

 

 

 

Lundi 4 septembre – Tour de la réserve naturelle de Chaudefour

 

Un très beau circuit, autour d’une réserve naturelle protégée, au départ de la Maison de la réserve. Après une longue ascension forestière, nous avons atteint un replat herbeux et venté qui marquait le début de la ligne de crêtes : Puy des Crebasses (1762 m), Puy de Cacabogne (1784 m), entre autres, avant d’atteindre le col des Cabanes (1781 m). Après nous être longuement interrogés (il était l’heure de manger), nous avons quand même poursuivi jusqu’au sommet du Puy de Sancy (1885 m). En montant, nous nous sommes trouvés aux premières loges d’une évacuation sanitaire en hélicoptère. Après être redescendus au col (trop de monde au sommet et des nuages de fourmis volantes), nous avons pique-niqué tardivement en plein cagnard. Nous sommes repartis en contournant le Puy Ferrand et en passant par le Puy de la Perdrix (1824 m), avant d’entamer une longue descente herbeuse, symétrique à la montée du matin. Celle-ci nous offrit de belles vues sur la station de Super-Besse et les monts du Cantal, au loin. L’arrivée vers le fond de vallée s’est avérée délicate, le chemin étant constitué de gros blocs souvent branlants. Les pauses successives, auprès du ruisseau, puis de la source ferrugineuse Sainte-Anne et, enfin, de la cascade de Pérouse, l’ont heureusement agréablement tempérée. Nous étions vannés, mais comblés !

 

 

 

Mardi 5 septembre – Les crêtes du Mont-Dore

 

Un temps brumeux et pas mal venté nous a rendu très supportable la longue montée du Puy de la Tâche (1632 m), à partir du col de la Croix-Morand (1403 m), ainsi que l’enfilade des crêtes successives, jusqu’au Puy de l’Angle (1740 m). Ce cheminement nous a offert de très belles vues, vers notre circuit de la veille ou vers la vallée du Mont-Dore. Le tracé initialement prévu, pour redescendre, étant fermé, il nous a fallu faire un large détour par la lande, pour rejoindre la Grande Cascade, agréable but de promenade des curistes. De là il ne restait plus qu’à descendre en forêt (pique-nique), jusqu’au-dessus du Mont-Dore, où Claudine et Sylvette nous ont quittés. Après avoir traversé les faubourgs du Mont-Dore, nous avons rejoint le beau cimetière paysagé de Prends-Toi-Garde. De là, le tracé s’est avéré plus pénible, mixant goudron et pistes empierrées pour terminer par le bord de la route aux abords du col. Nous avons croisé là de nombreux militaires, par petits groupes sac au dos, dont certains s’entraînaient à descendre en rappel, le long de la cascade du Queureuilh.

 

 

 

Mercredi 6 septembre – Autour du Puy de l’Aiguiller

 

C’est notre logeur, M. Pellissier, qui nous avait décrit ce circuit, en partie non balisé, qui présentait l’avantage de partir directement du gîte. Claudine est restée se reposer, ce jour-là. Nous avons d’abord emprunté le GR4, par le Puy de la Védrine, offrant une vue magnifique sur la ligne des Dômes, vers le nord. Sortis du Bois de Pessade, nous avons suivi une ancienne trace d’engin agricole, jusqu’à rejoindre le Puy de l’Aiguiller (1529 m), au prix de plusieurs franchissement de doubles clôtures électriques (en mode roulade latérale ou à la commando). Toute cette zone constitue une estive, où les troupeaux de vaches sont laissés en liberté. Du sommet, en apparence insignifiant, se déployait pourtant une vue magnifique sur l’ensemble du massif du Sancy, nous permettant de lire à distance notre circuit de la veille. Rendus insatiables par cette vue, nous avons poussé jusqu’au sommet du Puy de l’Ouirle (1509 m, mais raide), pour une vue réellement à 360°, y compris vers l’ouest, surplombant les Roches Tuillière et Sanadoire, ainsi que le lac de Guéry (pique-nique en plein cagnard, là-aussi). Nous sommes alors revenus sur nos pas pour emprunter le GR30 jusqu’au lac de Servières (maar ou lac de cratère, circulaire et limpide, peuplé de canards piscivores). Le retour empruntait un troisième GR, le 441. Nous recommandons fortement ce circuit à la saison des framboises, car le GR30 trace à travers d’énormes massifs de framboisiers. A bon entendeur, salut !

 

Nous avions pris date, ce jour-là avec M. Pellissier, qui est venu nous faire découvrir la Gentiane, pour l’apéritif et nous régaler d’anecdotes pas toujours rigolotes sur la vie et le métier d’éleveur (78 bêtes abattues dans les années 90, pour deux cas de brucellose dans son troupeau).

 

 

 

Jeudi 7 septembre – Le lac de Guéry et la Banne d’Ordanche

 

La haute silhouette de la Banne d’Ordanche (1512 m) était au programme du jour, au départ du parking du col de Guéry. Après un aperçu lointain sur le lac, nous avons emprunté la piste d’accès à la ferme du Puy May, avant d’obliquer vers le nord jusqu’au sommet du Puy Loup (1481 m), dévoilant une large vue sur les hauts plateaux des marges de la Creuse et de la Corrèze, vers l’ouest, peuplés de nombreuses éoliennes. Après nous être confrontés à une vache salers querelleuse, qui ne voulait pas nous céder le passage, nous avons suivi une crête herbeuse, jusqu’à escalader la Banne d’Ordanche, dont la table d’orientation était couverte de fourmis volantes. De là, nous avons décidé d’agrandir notre circuit, en descendant l’arête occidentale jusqu’à une route, qui nous a permis de rejoindre un large chemin forestier, au-dessus de La Bourboule. Après le pique-nique, nous nous sommes lancés à l’assaut du Puy Gros (1485 m), pour rejoindre, à travers un curieux paysage de steppe herbeuse, la forêt puis le lac de Guéry. Ces sentiers aériens, nous ont offert de larges vues à 360°, vers le massif du Sancy, et, là-encore, nous avons pu reconnaître de loin, les sentiers parcourus les jours précédents, loin de l’autre côté de la vallée du Mont-Dore. Un bon récapitulatif !

 

 

 

Vendredi 8 septembre – Autour du lac de Chambon

 

Les forces faiblissaient et nous avons choisi ce circuit court et sans difficultés, improvisé la veille, pour notre dernier jour. Nous devions y abandonner Sylvette, qui souhaitait se baigner. Las, à l’arrivée, nous découvrîmes que la baignade était interdite depuis le 4 septembre, pour « suspicion de cyanobactéries ». Sylvette a donc dû troquer la baignade contre le farniente. Les autres ont longé le lac, vers l’ouest, jusqu’au village de Chambon-sur-Lac (belle chapelle romane dans le cimetière), avant d’attaquer le versant nord de la vallée, très sec et caillouteux. Après avoir frôlé la motte féodale de Varennes, nous avons atteint la Dent du Marais, haute colonne de lave abrupte, dotée d’une légende médiévale qui nous a beaucoup fait gloser (une bergère s’étant jetée dans le vide pour échapper à un viol, a été miraculeusement sauvée ; elle a voulu recommencer l’exploit « pour la frime » et s’est écrasée en bas). Après avoir traversé la grande route de Clermont-Ferrand, nous sommes redescendus vers le château de Murol, au pied duquel nous avons pique-niqué. Après avoir brièvement visité Murol et pris un café en terrasse, nous avons rejoint le lac et Sylvette, en contournant l’ancien volcan boisé du Tartaret. Il ne restait plus qu’à faire quelques emplettes (fromages, Gentiane), avant de regagner le gîte. Pour respecter la tradition, nous sommes allés dîner, ce soir-là, à la « Cocotte Bleue », surplombant le lac d’Aydat, pour savourer une truffade auvergnate.

 

 

 

Samedi 9 septembre – Retour sur Chenôve

 

Rangement et répartition des restes, avant de charger le minibus et de partir aux environs de 10 h. Il a été difficile de trouver un endroit pour pique-niquer, doté de toilettes, le long de la RCEA en travaux. Arrivée à 14 h 45.

 

 

Au dessus des grands crus_Gevrey_samedi 02 septembre

Belle journée et 21 participants pour cette première rando de la nouvelle saison.15,5 kms et 350 m de dénivelé avec une allure légèrement plus douce que d'habitude au-dessus des Grands Crus, 15 entre Gevrey et ses Chambertins réputés et Chambolle et son Musigny en apercevant Morey St Denis et ses non moins connus Clos.Nous empruntons en montée douce le sentier du tacot qui reliait au début du siècle dernier Dijon à Beaune et passons sous le tunnel de la combe Grisard, seul ouvrage subsistant de cette ligne puis passons bientôt à la ferme de la Buère et son centre équestre. Après avoir traversé une zone forestière nous arrivons au bord du plateau et pouvons admirer la vue étendue sur le vignoble et la plaine avant de descendre à Chambolle où nous allons dire bonjour au tilleul de 500 ans.Il commence à faire chaud et nous devons remonter sur le plateau par une petite route et retrouvons avec plaisir la forêt où nous faisons notre pause repas et terminons notre périple en passant par la halte du tacot et le bon chemin blanc qui descend tranquillement jusqu'à nos voitures.

 

Sur les traces des maquisards du Leuzeu - samedi 19 aout

Alerte orange canicule" insuffisante pour nous arrêter, et nous avons bien fait. A part les dernières centaines de mètres du retour, en montée et en plein soleil, la quasi-totalité du parcours était sous couvert forestier, avec des courants d'air bienvenus, une température supportable et quelques passages nuageux. Après la longue descente depuis Urcy, nous avons attaqué avec courage l'ascension du Plain de Suzâne, heureusement "en tirants des bords" et pas en ligne droite. Nous avons poursuivi en balcon le contour du plateau, par la Roche Pompon, jusqu'aux cols du Leuzeu puis de la Mialle. De là, nous avons piqué sur le Leuzeu pour profiter des grandes tables de pique-nique et de la (relative) fraîcheur du ruisseau. La fin était moins agréable, via la longue piste d'accès au Leuzeu. C'est sûr que nous avons "mouillé le maillot", mais tout le monde était satisfait à l'arrivée.

 

La forêt domaniale de Longchamp - 05 août 2023

Une randonnée presqu'exclusivement forestière et, il faut le
dire, de ce fait un peu monotone. Le tracé, proposé par Visorando, empruntait des routes et pistes forestières, mais aussi de simples layons, parfois envahis par la végétation (ronces, arbres abattus) ou l'humidité. Nous nous en sommes d'ailleurs prudemment écartés, après Montarlot, là où il semblait devenir très aléatoire ou compliqué. C'est d'ailleurs là aussi que nous croisâmes un mariage, malheureusement pas à l'heure du vin d'honneur. Il ne restait plus qu'à admirer les beaux chênes élancés ou à cueillir quelques grosses mûres juteuses, au passage. Le retour sur Longchamp a emprunté la petite route d'accès aux maisons forestières ONF, utilisées pour la gestion de ce vaste massif. A défaut de découvertes naturelles ou patrimoniales, nous avons pris un bon bol d'air.

Autour de Vertillum - 22 juillet 2023

11 courageux (ses) sont partis de Villedieu, commune où un des participants a passé sa jeunesse.Temps impec pour une randonnée, pas trop chaud au début, après un passage à l’église St Pierre es Lien, nous sommes passés tout près du site de Vertillum. Forêts et passage au soleil jusqu’à Molesme où nous nous sommes restaurés au bord de l’étang de la baleine. La suite de la randonnée a été plus « chaude », abbaye en restauration, passage dans les vignes de la route du crémant, puis un retour à Villedieu en supprimant une petite pointe. En arrivant aux voitures il nous restait un peu de temps et de courage, nous nous sommes rendus sur le site de Vertillum (en voiture), mais les vestiges sont vraiment des vestiges et un peu déçus, nous avons discuté avec un camp scout qui nous a appris que les fouilles ne sont pas « terminées »Les kilomètres ont fait que la journée a été bien remplie et agréable.

 

La jument de Moloy  - samedi 08 juillet 2023

Partis de Moloy 30mns plus tôt qu'à notre habitude en raison de la forte chaleur annoncée, nous avons emprunté sous un ciel un peu nuageux, un bon chemin en montée pour rejoindre le plateau dégagé où se trouve la rente de la jument de Moloy, ancien site de mine de fer et sa mare intarissable.Ayant rejoint la forêt, nous attendait une forte descente dans un pierrier sans sentier vraiment dessiné pour rejoindre la combe Pliante suivie d'une raide montée pour atteindre le bois du Tilloy  Le chemin que nous devions suivre ensuite étant introuvable (coupe de bois) nous avons fait un détour pour retrouver notre trace dans de bonnes conditions et avons rejoint Frénois après une pause repas bien méritée.La chaleur était arrivée et aprés avoir admiré le beau moulin sur l'Ignon puis rejoint la combe Vermelaine, nous avons décidé de rejoindre directement le hameau de l Abergement en lisière de forêt puis Moloy.

 

Randonnée non balisée sur sentiers peu fréquentés et quelques fois ayant disparu et la fin peu ombragée et sous la chaleur...mais belle journée.

 

Roches de Solutré- Pouilly-Vergisson- samedi 24 juin 2023

Un Mâconnais de rêve au programme de la randonnée d'aujourd'hui ! Un ciel et des températures estivales, heureusement tempérés par un vent soutenu. Partis de Davayé par le raidillon de l'église, nous avons mis le cap sur l'arrière de la Roche de Vergisson, puis, via quelques crochets, à la pelouse sommitale. C'est là que nous avons rejoint un très gros groupe de stéphanois (environ 60 = sortie annuelle d'un club de marche nordique), que nous avons retrouvés plusieurs fois ensuite. Nous sommes redescendus en contournant la Roche avant de traverser le village de Vergisson et d'attaquer la montée à la Roche de Solutré par la face nord. Nous avons pique-niqué là, face au panorama, afin de ne pas rattraper les stéphanois. Arrivés au sommet de la Roche de Solutré, Yves nous a donné des explications préhistoriques, avant que nous ne replongions vers le musée par un vaste détour (protection exigeante des pelouses calcaires, entretenues par des chevaux rustiques). Il fallut regrimper, en partie heureusement à l'ombre, pour rejoindre le Mont de Pouilly, moins abrupt que les deux précédents, mais ouvrant de belles perspectives sur le Beaujolais. Il ne restait plus qu'à dégringoler sur Pouilly (Fuissé) et son adorable manoir, puis à remettre le cap sur Davayé. Petite vitesse moyenne, paysages oblige, mais magnifique journée.

Les hauts de la côte de Beaune - dimanche 11 juin 2023

Une randonnée compliquée aujourd'hui, avec une trace .gpx zigzagante et aléatoire, imposant des recherches ou des retours en arrière. Et puis, un ciel très vite menaçant, puis grondant, nous a incité à ne pas traîner. Nous avons ainsi marché vite de forêts en vignes et de vignes en forêts, rattrapés par une pluie fine peu après midi, qui nous a contraint à pique-niquer à l'abri sous des pins. L'ondée passée, nous avons repris notre marche en avant, fuyant devant l'orage, qui nous a quand même incités à éviter le détour par Gamay. Arrivés à la Roche Dumay, au-dessus de Puligny-Montrachet, il a bien fallu repartir vers le
nord et se trouver arrosés par la queue de l'orage, lequel a dû plutôt crever vers Beaune. Après un œil rapide sur le rempart de l'enceinte préhistorique du Mont-Meillan et sur les belles architectures d'Auxey-Duresses, nous avons rallié Monthelie puis Volnay, plutôt fourbus.

La reculée des Planches - samedi 27 mai 2023

Une magnifique randonnée ensoleillée d'environ 19 km chez nos amis jurassiens : Partis d'Arbois, nous avons sinué sur les hauteurs de Mesnay, jusqu'à atteindre le premier plateau jurassien et les belvédères des Roches du Feu. Nous y croisâmes de pacifiques chasseurs de papillons, avant de longer une verte combe en lisière de forêt. Celle-ci nous mena directement aux ruines du château féodal de La Châtelaine,
presqu'à l'aplomb du cirque rocheux de la grotte des Planches ; un endroit inspirant pour pique-niquer. La trace gps nous menant à l'aplomb d'une falaise, nous avons fait un crochet pour retrouver le chemin balisé et descendre rapidement sur le hameau des Planches. Après un vote démocratique, nous avons alors allongé le circuit initial pour aller voir la cascade des tufs, dans laquelle nous aurions bien barboté. Il
fallu pourtant rejoindre Les Planches, puis se lancer à l'assaut de la montée vers le plateau (raide !), à l'opposé de notre trace du matin. Après avoir sinué dans la forêt d'Arbois et admiré le "foyard président" (3,15 m de circonférence, 35 m de haut), nous sommes descendus sur Arbois pour faire nos emplettes de comté à la fruitière locale.